La révolution des populations nord-africaines l'année dernière a conduit à un grand désordre pour le patrimoine artistique et particulièrement égyptien.
Profitant du chaos politique, de nombreux sites ont été fouillés illégalement, le butin du pillage étant vendu par la suite à prix d'or. Afin de contrer ce trafic d'antiquités et d'éviter la dispersion du patrimoine égyptien datant de l’ère pré-dynastique et islamique, une liste rouge répertoriant tous les biens culturels égyptiens a largement été diffusée aux douaniers, police et antiquaires. Un travail d'investigation est actuellement en cours.
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